Être actionnaire de B2S n’est pas un long fleuve tranquille. Malgré un chiffre d’affaires d’environ 90 millio d’euros et une place de numéro 4 français sur le segment des centres d’appels, la société n’a pas réussi aux équipes d’iXen. Après avoir investi 10 millio d’euros de fonds propres, auxquels s’ajoutent 10 autres millio sous la forme d’avance de trésorerie, le fonds d’investissement a finalement dû jeter l’éponge et se résoudre à tramettre le groupe à Windhut.

Être actionnaire de B2S n’est pas un long fleuve tranquille. Malgré un chiffre d’affaires d’environ 90 millions d’euros et une place de numéro 4 français sur le segment des centres d’appels, la société n’a pas réussi aux équipes d’iXen. Après avoir investi 10 millions d’euros de fonds propres, auxquels s’ajoutent 10 autres millions sous la forme d’avance de trésorerie, le fonds d’investissement a finalement dû jeter l’éponge et se résoudre à transmettre le groupe à Windhurst.
Avec un apport de 3,4 millions d’euros, le holding industriel animé par François-Denis Poitrinal devient le principal actionnaire de B2S alors que Maxime Didier conserve 25 % du capital et la direction du groupe.
Fondé en 1996, le groupe s’est pourtant construit à partir d’une stratégie très volontariste de croissance externe. La crise passe cependant facture et le nouvel entrant devra affronter un contexte social compliqué.

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