"La ville intelligente devra s’organiser autour d’une gouvernance et d'un écosystème alliant décideurs publics et entreprises privées"
Une question à Cédric Vatier, directeur Stratégie et Développement Durable et Jean-Nicolas Brun, dir
Décideurs : Comment les acteurs privés et publics pourraient-ils ensemble contribuer au développement des villes intelligentes ?
Cédric Vatier. Il s’agit, à l’image de certaines grandes villes européennes, en avance sur le sujet, comme Amsterdam, d’engager des expérimentations appliquées sur le terrain permettant de tester différents modèles et d'obtenir des résultats rapides et mesurables (en termes d’impact social, environnemental et économique). Ces démarches exploratrices doivent permettre aux villes de prendre conscience de la valeur des technologies intelligentes et pour le secteur privé de trouver un intérêt économique à participer au mouvement. Les modes de financement doivent entrer dans une logique gagnant-gagnant, à la fois pour les citoyens, les acteurs publics et le secteur privé.
Jean-Nicolas Brun. La municipalité d’Amsterdam a, par exemple, choisi Accenture pour l’accompagner dans la mise en œuvre de son programme « Amsterdam Smart City » qui prévoit notamment l’utilisation de technologies intelligentes (réseaux électriques intelligents, compteurs intelligents, bâtiments intelligents, véhicules électriques) pour réduire la consommation d’énergie dans les immeubles commerciaux et résidentiels, les bâtiments et espaces publics, ainsi que dans les transports. Pour réussir, la ville intelligente devra s’organiser autour d’une gouvernance et d'un écosystème alliant décideurs publics et entreprises privées, qu’elles soient issues des secteurs de la construction, des utilities, des télécoms ou des nouvelles technologies.
Cédric Vatier. Il s’agit, à l’image de certaines grandes villes européennes, en avance sur le sujet, comme Amsterdam, d’engager des expérimentations appliquées sur le terrain permettant de tester différents modèles et d'obtenir des résultats rapides et mesurables (en termes d’impact social, environnemental et économique). Ces démarches exploratrices doivent permettre aux villes de prendre conscience de la valeur des technologies intelligentes et pour le secteur privé de trouver un intérêt économique à participer au mouvement. Les modes de financement doivent entrer dans une logique gagnant-gagnant, à la fois pour les citoyens, les acteurs publics et le secteur privé.
Jean-Nicolas Brun. La municipalité d’Amsterdam a, par exemple, choisi Accenture pour l’accompagner dans la mise en œuvre de son programme « Amsterdam Smart City » qui prévoit notamment l’utilisation de technologies intelligentes (réseaux électriques intelligents, compteurs intelligents, bâtiments intelligents, véhicules électriques) pour réduire la consommation d’énergie dans les immeubles commerciaux et résidentiels, les bâtiments et espaces publics, ainsi que dans les transports. Pour réussir, la ville intelligente devra s’organiser autour d’une gouvernance et d'un écosystème alliant décideurs publics et entreprises privées, qu’elles soient issues des secteurs de la construction, des utilities, des télécoms ou des nouvelles technologies.