Squair ouvre un bureau à Aix-en-Provence
Après s’être implanté dernièrement à Bordeaux puis à Lyon, Squair poursuit son développement dans le sud de la France et s’installe à Aix-en-Provence. À la tête de cette toute nouvelle antenne ? Les associés Gabriel Curnier, qui intervient en droit économique, droit de la distribution ainsi qu’en concurrence, et Luc Ferret, spécialiste en corporate/M&A, private equity et droit des entreprises en difficulté. Squair compte désormais 36 professionnels répartis en France et au Royaume-Uni.
Gabriel Curnier conseille ses clients dans leurs stratégies d'organisation des réseaux de distribution, la conduite de leurs négociations commerciales, la structuration de leur politique tarifaire ainsi que lors d'opérations de contrôle et d’inspections menées par les autorités administratives. Il a également développé des compétences en e-commerce pour assister les éditeurs de logiciels et les opérateurs de marketplaces. L’avocat a commencé sa carrière chez Bird & Bird puis chez Gide à Paris avant de rejoindre Cadji et Numa Avocats à Aix-en-Provence. Membre de l'Association française d'étude de la concurrence, Gabriel Curnier est diplômé de l'École de droit de Sciences Po Paris, et a obtenu un master en droit économique européen de l’université de Strasbourg ainsi qu’un LL.M de l’université d’Exeter au Royaume-Uni.
Quant à Luc Ferret, il conseille les dirigeants dans le cadre de la gestion juridique et de la gouvernance de l’entreprise, et lors d’opérations de restructuration, d’acquisition ou de cession ainsi que les sociétés, les investisseurs et les fonds d’investissement dans la réalisation de levées de fonds ou de prises de participation. Son savoir-faire en matière de droit des entreprises en difficulté lui permet également d’accompagner ses clients dans de procédures préventives et collectives. Avant d’intégrer Squair, Luc Ferret a exercé chez Ashurst et Gibson Dunn à Paris, puis au sein des cabinets Axten Avocats et Lamartine Conseil à Aix-en-Provence. Il est diplômé d’un master en droit des affaires de l’université de Montpellier et d’un LL.M de l’université d’Ottawa au Canada.
Anaëlle Demolin