Legaltech : Seraphin Legal casse les prix
"Depuis longtemps, de nombreux professionnels du droit utilisent des technologies qui ne sont pas dédiées à leur pratique", explique un communiqué de presse annonçant les nouvelles offres proposées par Seraphin Legal. Pour ses dirigeants, face au constat de l’accélération de la digitalisation des organisations juridiques, l’enjeu est de rendre cette transition accessible à toutes les entreprises. Et cela commence par une offre de service à bas coûts.
Pour relever ce défi, Seraphin Legal lance une nouvelle offre à partir de 50 euros mensuels. Cette start-up du droit propose des solutions Saas (Software as a Service) en gestion de contrats, Seraphin Contrat Management, et en automatisation du support juridique, Seraphin Assistant. Thomas Saint-Aubin, cofondateur et président de Seraphin Legal explique leur intérêt : « Les principales activités réalisées par les professionnels du droit étant la rédaction d’acte et la transmission d’informations, de recommandations ou encore de conseils juridiques, nous avons décidé de mettre à disposition de toutes les entreprises souhaitant automatiser leurs processus des solutions simples, abordables et adaptées à leur pratique. » Une offre à si bas coûts prend en compte les difficultés qu’ont eu certaines directions juridiques à faire face à la crise sanitaire. Pour le CEO, elle s’adresse aussi bien aux directions juridiques ayant déjà entamé leur transformation numérique qu’à celles ne l’ayant pas encore commencée, et pour lesquelles la digitalisation ne serait pas économiquement accessible avec les autres produits disponibles sur le marché.
Seraphin Legal est un acteur de legaltech française. En 2019, l’enseigne faisait partie des 23 entreprises du groupe French Legal Tech au sein de France Digital pour renforcer leur visibilité, leur attractivité et surtout leurs possibilités de développement. En avril dernier, Seraphin Legal avait clôturé une levée de fonds de 2 millions d'euros auprès de l’actionnaire professionnel d’entreprises Turenne et d’acteurs du droit des affaires.
Louise Tydgadt