Trois questions à… Peter Stas, CEO, Frédérique Constant
Décideurs. Quel est votre sentiment face au succès de Frédérique Constant, une si jeune manufacture d’à peine 30 ans ?
Peter Stas. Nous sommes très satisfaits du développement de notre manufacture durant ces trente dernières années. De la start-up, nous sommes passés à une multinationale. Évidemment, notre réussite a été possible grâce à la persévérance de nos équipes. Leur passion pour Frédérique Constant en est la clé de voûte. Nous sommes reconnaissants à tous ceux qui ont cru en nous et ont acheté nos montres.
Vous faites partie des pionniers de l’horlogerie connectée, pourquoi y avoir cru si tôt ?
Nous avons lancé notre première montre connectée en 2015 car nous avons senti l’opportunité d’offrir une nouvelle vie au quartz. La connexion le rend tellement plus intéressant ! Désormais, il suit et analyse votre activité et votre sommeil. Par le biais d’un smartphone, il propose également des graphiques résumant vos propres données. Rien de tout cela n’était possible par le passé. C’est ce qui rend une montre connectée passionnante, surtout lorsqu’elle ressemble à une montre mécanique, avec son cadran sophistiqué et ses détails raffinés. Car les hommes continueront toujours à porter de belles montres.
Comment allez-vous célébrer cette année les 30 ans de Frédérique Constant ?
Nous allons organiser une soirée de gala au second semestre de cette année pour nos meilleurs clients. Nous travaillons encore sur le concept mais ce sera digne de notre parcours. Nous allons aussi lancer un modèle manufacture commémoratif édité en série limitée, le nec plus ultra de notre savoir-faire horloger.
Exergue
Les hommes continueront toujours à porter de belles montres
Propos recueillis par hervé borne