Les belles connectées

Sans céder à la tentation du « copier-coller » mais en proposant une interprétation de la connexion selon leurs principes séculaires. En d’autres termes, en fabriquant des montres, belles et intelligentes. Ce qui est le cas pour Montblanc, TAG Heuer, Breitling, ou plus récemment Louis Vuitton. À première vue, elles ressemblent à des montres traditionnelles. Pourtant, les cadrans sont tactiles, intuitifs, tout en gardant l’allure des montres vintage. Les fonctions sont nombreuses, bien entendu, il y a celles dédiées au sport et à la santé, et aussi des options supplémentaires liées aux voyages ou à une passion en particulier… Un nouveau marché qui unit donc tradition et connexion.

BREITLING

Nom : Exospace B55
Matière : titane
Diamètre : 46 mm
Prix : 8 070 €.

À noter : de nombreuses possibilités de chronométrages dédiées aux pilotes, temps courts, intermédiaires, successifs, sans compter avec cette option qui mesure le temps écoulé depuis le moment où l’avion commence à décoller, jusqu’à celui où il s’immobilise.

MONTBLANC

Nom : Summit
Matière : acier
Diamètre : 46 mm
Prix : 895 €.

À noter : un cadran qui reproduit ceux des modèles vintage de la maison dont la luminosité s’adapte automatiquement à la lumière ambiante. Un microphone performant pour les commandes vocales et un capteur cardiaque situé au dos du boîtier.

TAG HEUER

Nom : Connected Modular
Matière : titane et céramique
Diamètre : 45 mm
Prix : 1 650 €.

À noter : sa modularité, pas moins de 56 versions sont proposées, des plus sportives aux plus luxueuses. Au-delà des fonctions habituelles liées au smartphone, elle dispose d’un capteur NFC pour les paiements bluetooth.

LOUIS VUITTON

Nom : Tambour Horizon
Matière : acier PVD noir
Diamètre : 42 mm
Prix : 2 900 €.

À noter : un cadran à personnaliser et deux fonctions exclusives. La première reprenant la totalité des informations pratiques des City Guides maison. La seconde, My Flight, renseignant sur son voyage, porte d’embarquement, retard, durée de vol, livraison des bagages…

par gilles lancrey