Il existe bel et bien un vote catholique, juif, musulman ou athée. Les premiers sondages post-premier tour et l’analyse de certains bureaux de vote montrent cela clairement. Décryptage d’une situation qui peut déranger…
L’ancien président de la République appelle à voter Emmanuel Macron. Son message semble aller plus loin qu’un simple réflexe barrage et laisse penser à des convergences avec l’actuel locataire de l’Élysée.
Avec 7% seulement des voix, Éric Zemmour a sous-performé. Analyser son électorat permet de mettre à jour certaines certitudes, mais aussi quelques points inattendus.
Ils sont candidats et élus à droite, à gauche, à l’extrême gauche de l’échiquier. Et n’ont pas hésité, à l’annonce des résultats du premier tour de la présidentielle, qui replonge la France dans une finale Macron-Le Pen, à appeler à "faire barrage" à l’extrême droite.
En 2017, de nombreux spécialistes du monde politique estimaient que le macronisme ne survivrait pas. Cinq ans plus tard, il se renforce tandis que les partis traditionnels sont en difficulté. La recomposition est partie pour durer.
Candidats et soutiens se sont exprimés après l’annonce des résultats. Certains ont opté pour l’optimisme et pensent déjà aux législatives, d’autres - les partis historiques - ont accusé le coup.