Durant la présidentielle puis les législatives, Jean-Luc Mélenchon et ses partisans n’ont cessé de répéter la même antienne : il est nécessaire de redonner de la noblesse au Parlement. Les choses semblent mal parties.
Aurore Bergé, Marine Le Pen, Mathilde Panot, Olivier Marleix, Boris Vallaud… Les présidents de groupe à l’Assemblée nationale remplissent une mission peu connue du grand public. Elle est pourtant stratégique, notamment en cas de majorité relative. Eclairage avec l’universitaire Christophe Bellon, spécialiste de l’histoire parlementaire.
Si la gauche regagne de l’influence à l’Assemblée nationale, un examen de la carte électorale met en lumière une situation préoccupante : une concentration dans les zones urbaines et un abandon d’une large partie du territoire.
Emmanuel Macron, Jean-Luc Mélenchon ou Éric Zemmour draguent sans vergogne les amateurs de jeux-vidéo. Une stratégie qui permet en réalité de s’adresser à une cible beaucoup plus large…
Déjouant tous les pronostics, le RN fait son entrée en force à l’Assemblée nationale tandis que Reconquête n’a placé aucun candidat au second tour. Éric Zemmour a-il servi "d’agent" au mouvement de Marine Le Pen ? Est-il inutile ?
Une majorité sortante qui boit la tasse, un RN qui ne se voyait pas si haut, une Nupes principale force d’opposition, LR qui perd des sièges mais gagne en influence. Voici les leçons à retenir de ce second tour.
En duel avec une candidate EELV, le délégué général de la République en marche va tenter de conserver son siège dans une circonscription traditionnellement de gauche. Il compte pour cela mettre en avant son profil social-démocrate et pointer les incohérences de la Nupes.