Invité de la « matinale des travaux publics », organisée par La Tribune, mercredi 16 décembre, le patron des Républicains n’a fait mention d’aucune idée nouvelle. Et la courbe des sondages prend une mauvaise tournure.
Suite aux attentats de janvier, le rhétoricien et philosophe français s’est aventuré à disséquer une des armes les plus puissantes du califat : sa rhétorique. Dans son ouvrage Paroles armées*, il explique comment l’organisation terroriste séduit des convertis et pourquoi nous sommes incapables de réagir.
Élu pour deux ans, le nouveau représentant des commissaires-priseurs français ne manque pas d’ambition pour la profession malmenée depuis la loi Macron.