Mardi 8 novembre, les Américains n’ont pas seulement élu Donald Trump quarante-cinquième président des États-Unis : ils ont aussi voté pour un renouvellement partiel du Congrès, ce qui influence la désignation des membres de la Cour suprême.
Plus que la modernisation de son image, la banque d'affaires épouse ses ambitions internationales et s'en donne les moyens grâce à l'arrivée de Laurent Azout comme associé.
Historien spécialiste des États-Unis, directeur d’études à l’EHESS et du centre d’études Nord-américaines (Cena), Romain Huret revient sur une élection « exceptionnelle » par sa violence et sur l’impact qu’elle ne manquera pas d’avoir sur l’électorat américain et la fonction présidentielle elle-même.
Des mois de campagne n’auront pas suffi aux deux prétendants à susciter une adhésion forte et massive. De quoi s’interroger sur la portée d’une victoire qui, de toute évidence, tiendra davantage aux défauts du perdant qu’aux qualités du gagnant.
Économiste et directeur général adjoint de Global Equities, Marc Touati* décrypte les effets qu’aurait, pour les États-Unis comme pour l’économie mondiale, la victoire de l’un ou de l’autre des deux camps. Sans céder aux sirènes de la bien-pensance ni à celles des idées reçues.