Le cabinet Vigo muscle son activité pénale avec l’arrivée d’Adélaïde Jacquin en qualité d’associée

Du nouveau chez Vigo. Le cabinet attire dans ses filets Adélaïde Jacquin, pénaliste qui s’est forgé une solide réputation depuis près dix ans. L’avocate arrive avec une collaboratrice.

Adélaïde Jacquin défend des entreprises confrontées aux problématiques pénales de la vie des affaires, notamment en droit pénal du travail. Elle accompagne également des personnes physiques, tant dans le domaine du droit pénal des affaires que dans celui du droit pénal général et des libertés fondamentales. Elle se distingue par sa maîtrise du russe qui lui permet de conseiller des clients soviétiques basés en France.

La jeune avocate a fait ses armes chez Vigo entre 2016 et 2021 avant de monter sa propre boutique. Elle avait à l’époque à “cœur de mener ma barque seule pendant un temps, afin de voir la forme que prendrait [son] exercice en tant que jeune femme avocat évoluant en droit pénal des affaires”. Son retour chez Vigo marque une nouvelle étape pour celle qui s’associe à “ceux qui lui [ont] donné le goût du métier”. 

En parallèle de sa profession, Adélaïde Jacquin enseigne le droit pénal des affaires aux étudiants du double master international law & finance de l’université catholique de Lille et de l’Edhec Business School. Elle a aussi été chargée de travaux dirigés à l’université de Paris-Est Créteil.

Avocate au barreau de Paris depuis 2016, Adélaïde Jacquin est diplômée de Science Po Paris où elle a obtenu le master Entreprises marchés et régulations de l’École de droit et où elle a appris la langue de Tolstoï. Elle parle aussi l’anglais et l’italien.