Marguerite Higgons lance son cabinet spécialisé en propriété intellectuelle

Après un début de carrière chez Armengaud Guerlain, c'est une nouvelle étape que franchit Marguerite Higgons laquelle ouvre son cabinet spécialisé en propriété intellectuelle. “Dès l’école primaire, je voulais être avocate. La création de mon cabinet a été assez naturelle, c’est quelque chose que j’ai toujours eu envie de faire”, précise-t-elle. Son attrait pour la propriété intellectuelle a grandi au fil de ses études : “La propriété intellectuelle me permet de combiner mon goût pour la création et pour le droit.”

Avec cette boutique, l’avocate a une double ambition. Elle souhaite mettre en lumière sa pratique exclusive et complète de la propriété intellectuelle sur les sujets relatifs aux droits des brevets, marques, dessins et modèles.

L’avocate traite ses dossiers de façon pragmatique et met un point d’honneur à apporter des réponses concrètes, rapides et efficaces à ses clients : “Quand un client vient me voir, la première chose que je fais c’est l’écouter attentivement. Je prends le temps de bien comprendre son entreprise, son produit ou son service et la phase de développement dans laquelle il se trouve, son marché et ses concurrents. Cela me permet de déterminer quelles sont ses attentes concrètes et ainsi d’établir rapidement une stratégie juridique sur mesure.”

Une pratique marquée par un parcours pluridisciplinaire

En plus de son cursus de droit, Marguerite Higgons a passé trois ans à l’Edhec et a côtoyé les entreprises dont elle cerne mieux, de ce fait, les attentes qu’elles peuvent avoir vis-à-vis de leurs avocats. Elle a également travaillé auprès des magistrats spécialistes en propriété intellectuelle du tribunal judiciaire de Paris, ce qui est lui est aujourd’hui d’une grande utilité : “Cela m’a permis de comprendre ce qui peut faire la différence dans un contentieux de propriété intellectuelle.”

L’avocate a une autre corde à son arc : elle est trilingue. Un atout qui lui permet d’attirer une clientèle internationale d’entreprises, de particuliers et d’artistes. Grâce à une bi-licence en droit franco-espagnol, fruit d’un partenariat entre l’université du Salvador en Argentine et l’université de Nanterre, Marguerite Higgons maîtrise parfaitement l’espagnol. Également diplômée de l’université Paris Sud d’un master 2 juriste d’affaires franco-anglais, elle a acquis une très bonne pratique de la langue de Shakespeare. Quand on interroge Marguerite Higgons sur ses ambitions, elle confie que “continuer à exercer avec autant de passion et de plaisir serait une très belle réussite”.