Création de Seconda par Fred-Éric Bergheimer et Néda Habillat
Seconda fait référence à “la partition du second pianiste destinée à accompagner et enrichir la mélodie principale jouée par le premier pianiste”. Le concept de la boutique créée par Fred-Éric Bergheimer et Néda Habillat consiste à proposer une aide ponctuelle aux avocats pour des questions qui sortent de leur champ de compétence. Le cabinet compte déjà une trentaine d’avocats, d’universitaires, de professeurs agrégés et de maîtres de conférences.
La petite question
Le cabinet couvre tous les sujets : droit des personnes, droit social, droit de l’immatériel, droit de l’immobilier, procédures et contentieux, responsabilité et assurance, droit des entreprises, droit privé économique, droit pénal, droit public, droit international, droit fiscal, droit étranger, droits de l’homme et libertés fondamentales. Et aussi les “inclassables” : droit des associations, droit équin, droit de l’outre-mer… et d’autres encore. Les créateurs de Seconda ont imaginé quatre prestations pour dépanner leurs consœurs et confrères : la consultation, la note, le second regard et la seconde. De l’avis détaillé entièrement rédigé à la “réponse à la petite question, celle qui existe certainement quelque part mais qui sort de votre domaine de compétences”.
Juristes en tout genre
Seconda veut apporter sa pierre à l’édifice et contribuer à rendre le droit accessible. Avec des praticiens et des universitaires venus des quatre coins de la France dans leurs effectifs, le cabinet favorise un mélange des genres pour traiter les dossiers. Parmi eux, on trouve d’anciens secrétaires de la conférence du stage (Néda Habillat, Anne-Laure Valluis et Michaël Rouland), une professeure de droit privé toulousaine (Nadège Jullian), une maître de conférences bordelaise (Marie Peyronnet), ou encore un avocat-professeur inscrit au barreau colombien (Daniel Rojas-Tamayo).
Illustrations cc.chantebel
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